LES JARDINS DE GABRIEL
Asnières-Sur-Seine
LES JARDINS DE GABRIEL
Asnières-Sur-Seine
S’INSCRIRE DANS UN RYHTME URBAIN
Le site du projet est entouré par des éléments forts et structurants du paysage urbain : la Seine, toute proche, les voies du RER C reliant Paris à Pontoise et l’arrivée d’une future gare du grand Paris. Le projet vient donc s’insérer à la fin et au début d’un axe urbain d’importance à l’échelle de la ville.

S’INSCRIRE DANS UN RYHTME URBAIN
Le site du projet est entouré par des éléments forts et structurants du paysage urbain : la Seine, toute proche, les voies du RER C reliant Paris à Pontoise et l’arrivée d’une future gare du grand Paris. Le projet vient donc s’insérer à la fin et au début d’un axe urbain d’importance à l’échelle de la ville.


Le projet se développe par l’analyse de potentialités : l’ambiance, la lumière du paysage, les demandes environnementales et le jeu formel consistant en une série de découpages, d’ouvertures, de glissements qui définissent les trois corps du bâtiment. La ville est placée en dialogue continu avec le parc intérieur créant un rythme bâti/paysage. L’écriture architecturale du projet est fondée sur cette notion de rythme (ouvertures, matériaux, traitement des derniers étages) : elle favorise au sein d’une grammaire commune, la diversité du paysage urbain créée entre ville et nature.

Le projet se développe par l’analyse de potentialités : l’ambiance, la lumière du paysage, les demandes environnementales et le jeu formel consistant en une série de découpages, d’ouvertures, de glissements qui définissent les trois corps du bâtiment. La ville est placée en dialogue continu avec le parc intérieur créant un rythme bâti/paysage. L’écriture architecturale du projet est fondée sur cette notion de rythme (ouvertures, matériaux, traitement des derniers étages) : elle favorise au sein d’une grammaire commune, la diversité du paysage urbain créée entre ville et nature.
Lieu | Asnières-sur-seine, FR
Maîtrise d’ouvrage | SCI Asnières Seine AB représentée par COFFIM, Eiffage Immobilier IDF
Architectes | 5+1AA
Équipe projet | Femia, Cenci, Peluffo, Spinetto
Bureau d’étude | Eiffage Construction (structure) , I.D BATI (fluides) , Tohier (economie)
Programme | Construction de 183 logements : 144 en accession, 39 sociaux, commerce de 360 m2 , 192 places de parkings
Surface | 10.518 m²
Coût | 19 M€ HT
Calendrier | Livraison 2016
Photographies | Luc Boegly
Le site du projet est entouré par des éléments forts et structurants du paysage urbain : la Seine, toute proche, les voies du RER C reliant Paris à Pontoise et l’arrivée d’une future gare du grand Paris. Le projet vient donc s’insérer à la fin et au début d’un axe urbain d’importance à l’échelle de la ville.
Le projet se développe par l’analyse de potentialités : l’ambiance, la lumière du paysage, les demandes environnementales et le jeu formel consistant en une série de découpages, d’ouvertures, de glissements qui définissent les trois corps du bâtiment.
La ville est placée en dialogue continu avec le parc intérieur créant un rythme bâti/paysage. L’écriture architecturale du projet est fondée sur cette notion de rythme (ouvertures, matériaux, traitement des derniers étages) : elle favorise au sein d’une grammaire commune, la diversité du paysage urbain créée entre ville et nature. L’âme du projet est aussi la ré-affirmation du décor à travers l’apparition de la céramique et de l’ornementation representée par six anges. Cette ré-affirmation impose de penser le logement comme une maison, un lieu à vivre et pas seulement une addition d’exigences à satisfaire.
Le projet vient prendre place à la sortie d’une prochaine gare du grand Paris, à l’entrée et la sortie d’un axe urbain d’importance à l’échelle de la ville.
Une première réflexion se pose alors : comment gérer cette disposition ? Comment présenter le projet vers l’avenue des Grésillons et la gare, cet espace représentant une interface structurante d’un point de vue fonctionnel ? Comment, en complément de la place déjà prévue, dilater cet espace et en faire une véritable porte d’entrée du quartier ?
Le projet respectera l’ordonnancement des îlots et formes urbaines déjà existants : la trame verte, la présence de voies d’échelles et d’usages différents, la variété du vocabulaire architectural (décalage de toiture, rythme des percements, ordonnancement général plutôt que des jeux de volumétrie anecdotiques).
Lieu | Asnières-sur-seine, FR
Maîtrise d’ouvrage | SCI Asnières Seine AB représentée par COFFIM, Eiffage Immobilier IDF
Architectes | 5+1AA
Équipe projet | Femia, Cenci, Peluffo, Spinetto
Bureau d’étude | Eiffage Construction (structure) , I.D BATI (fluides) , Tohier (economie)
Programme | Construction de 183 logements : 144 en accession, 39 sociaux, commerce de 360 m2 , 192 places de parkings
Surface | 10.518 m²
Coût | 19 M€ HT
Calendrier | Livraison 2016
Photographies | Luc Boegly
Le site du projet est entouré par des éléments forts et structurants du paysage urbain : la Seine, toute proche, les voies du RER C reliant Paris à Pontoise et l’arrivée d’une future gare du grand Paris. Le projet vient donc s’insérer à la fin et au début d’un axe urbain d’importance à l’échelle de la ville.
Le projet se développe par l’analyse de potentialités : l’ambiance, la lumière du paysage, les demandes environnementales et le jeu formel consistant en une série de découpages, d’ouvertures, de glissements qui définissent les trois corps du bâtiment.
La ville est placée en dialogue continu avec le parc intérieur créant un rythme bâti/paysage. L’écriture architecturale du projet est fondée sur cette notion de rythme (ouvertures, matériaux, traitement des derniers étages) : elle favorise au sein d’une grammaire commune, la diversité du paysage urbain créée entre ville et nature. L’âme du projet est aussi la ré-affirmation du décor à travers l’apparition de la céramique et de l’ornementation representée par six anges. Cette ré-affirmation impose de penser le logement comme une maison, un lieu à vivre et pas seulement une addition d’exigences à satisfaire.
Le projet vient prendre place à la sortie d’une prochaine gare du grand Paris, à l’entrée et la sortie d’un axe urbain d’importance à l’échelle de la ville.
Une première réflexion se pose alors : comment gérer cette disposition ? Comment présenter le projet vers l’avenue des Grésillons et la gare, cet espace représentant une interface structurante d’un point de vue fonctionnel ? Comment, en complément de la place déjà prévue, dilater cet espace et en faire une véritable porte d’entrée du quartier ?
Le projet respectera l’ordonnancement des îlots et formes urbaines déjà existants : la trame verte, la présence de voies d’échelles et d’usages différents, la variété du vocabulaire architectural (décalage de toiture, rythme des percements, ordonnancement général plutôt que des jeux de volumétrie anecdotiques).